Pour ce faire, il faut s'assurer que l'entrepreneur en peinture possède une licence en règle de la Régie (sous-catégorie 4240. 1). En cas de doute, cette dernière peut vous confirmer l'information par téléphone ou encore à partir de son site Internet (www.
Rbq. Gouv. Qc. Ca).
Pas de papier, disponible et pas cher vous semble une formule acceptable? Sachez qu'emprunter cette avenue ne se fait pas sans risque. Travail mal fait ou peintre qui disparaît, argent en poche, avant la fin du contrat ne sont que quelques problèmes que dénonce la RBQ. «Présentement, il y a un manque de peintres et plusieurs personnes s'improvisent professionnels», alerte Mme Chouinard.
La vigilance est donc de mise pour éviter les mauvaises surprises.
«L'habit ne fait pas le moine. . . Mais ça aide», blague Jacques Gobeil, directeur du service-conseil Habitation pour le CAA-Québec.
À son avis, se fier à son flair peut être un bon indice quand vient le temps de savoir à qui faire confiance. «Il faut magasiner et faire travailler les entrepreneurs les uns contre les autres afin d'obtenir le meilleur prix, ajoute-t-il.
Il faut qu'ils se fassent compétition ! » Évidemment, il faut comparer les mêmes choses. Qualité de la peinture et ensemble des tâches incluses (qui fait la réparation de fissures ou le déplacement des meubles, par exemple) seront alors à prendre en compte.